French MoD for January 20, 2017 – January 21, 2017
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Annotated
Chammal : destruction par des Rafale d’un centre de commandement de Daech en périphérie de Mossoul
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Mise à jour : 20/01/2017 11:59
Le 16 janvier 2017, une patrouille de Rafale de la base aérienne projetée (BAP) au Proche-Orient a frappé une nouvelle fois Daech, détruisant un centre de commandement tactique situé en périphérie de Mossoul et des capacités de harcèlement contre les forces de sécurité irakiennes.
Effectuée conjointement avec six autres avions de chasse de la coalition, cette mission avait pour objectif la destruction de bâtiments occupés par l’organisation terroriste. Ce site abritait notamment des pièces d’artillerie, des véhicules blindés emplis d’explosifs et un état-major tactique à la périphérie Sud de Mossoul.
Chaque Rafale engagé emportait, sous le fuselage, une bombe guidée laser de 1000 kg dotée d’une capacité de pénétration renforcée. Forts de leur haut degré d’interopérabilité (capacité à travailler ensemble avec des procédures communes), les chasseurs alliés ont détruit leurs objectifs et neutralisé les moyens militaires qui s’y trouvaient.
Cette frappe aérienne, la 1 105ème des avions de chasse français au Levant depuis le début de l’opération Chammal, a été menée tout en poursuivant les missions d’appui aérien et d’artillerie conduites en parallèle pour la reprise de Mossoul. Ainsi, dans un effort coordonné et global, les forces irakiennes et leurs alliés ont pu progresser jusqu’aux rivages du Tigre.
Lancée depuis le 19 septembre 2014, l’opération Chammal incarne l’engagement militaire français au sein de l’opération Inherent Resolve. Elle mobilise aujourd’hui près de 1 200 militaires. A la demande du gouvernement irakien et en coordination avec les alliés de la France présents dans la région, l’opération Chammal repose sur deux piliers complémentaires : un pilier « formation» au profit d’unités de sécurité nationales irakiennes (Task Force Narvik et Monsabert) et un pilier « appui » aérien et artillerie consistant à soutenir l’action des forces locales engagées au sol contre Daech et à frapper en profondeur les capacités militaires du groupe terroriste.
Chammal : destruction par des Rafale d’un centre de commandement de Daech en périphérie de Mossoul
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Mise à jour : 20/01/2017 11:59
Le 16 janvier 2017, une patrouille de Rafale de la base aérienne projetée (BAP) au Proche-Orient a frappé une nouvelle fois Daech, détruisant un centre de commandement tactique situé en périphérie de Mossoul et des capacités de harcèlement contre les forces de sécurité irakiennes.
Effectuée conjointement avec six autres avions de chasse de la coalition, cette mission avait pour objectif la destruction de bâtiments occupés par l’organisation terroriste. Ce site abritait notamment des pièces d’artillerie, des véhicules blindés emplis d’explosifs et un état-major tactique à la périphérie Sud de Mossoul.
Chaque Rafale engagé emportait, sous le fuselage, une bombe guidée laser de 1000 kg dotée d’une capacité de pénétration renforcée. Forts de leur haut degré d’interopérabilité (capacité à travailler ensemble avec des procédures communes), les chasseurs alliés ont détruit leurs objectifs et neutralisé les moyens militaires qui s’y trouvaient.
Cette frappe aérienne, la 1 105ème des avions de chasse français au Levant depuis le début de l’opération Chammal, a été menée tout en poursuivant les missions d’appui aérien et d’artillerie conduites en parallèle pour la reprise de Mossoul. Ainsi, dans un effort coordonné et global, les forces irakiennes et leurs alliés ont pu progresser jusqu’aux rivages du Tigre.
Lancée depuis le 19 septembre 2014, l’opération Chammal incarne l’engagement militaire français au sein de l’opération Inherent Resolve. Elle mobilise aujourd’hui près de 1 200 militaires. A la demande du gouvernement irakien et en coordination avec les alliés de la France présents dans la région, l’opération Chammal repose sur deux piliers complémentaires : un pilier « formation» au profit d’unités de sécurité nationales irakiennes (Task Force Narvik et Monsabert) et un pilier « appui » aérien et artillerie consistant à soutenir l’action des forces locales engagées au sol contre Daech et à frapper en profondeur les capacités militaires du groupe terroriste.