Geolocation
Airwars assessment
Three civilian males, described as “youths” were reportedly killed – and more than 20 people were wounded – in alleged Coalition airstrikes in Al Bouhamad village, local sources reported.
Aleqirshi Alfuratiya reported that the deaths occurred as a result of strikes that were targeting an ISIL vehicle which was traveling on “Downtown Middle Street” to the west of the Great Mosque of Beit Elwan. It is not known whether any ISIL fighters were killed.
Alaraby reported that the the civilians were killed as a result of a “guided missile fired by a Coalition drone”.
Nine of ten sources who reported the incident alleged that the Coalition was responsible.
The local time of the incident is unknown.
The victims were named as:
Summary
Sources (13) [ collapse]
Media
from sources (1) [ collapse]
Attached to this civilian harm incident is a provisional reconciliation of the Pentagon's declassified assessment of this civilian harm allegation, based on matching date and locational information.
The declassified documents were obtained by Azmat Khan and the New York Times through Freedom of Information requests and lawsuits filed since March 2017, and are included alongside the corresponding press release published by the Pentagon. Airwars is currently analysing the contents of each file, and will update our own assessments accordingly.
US-led Coalition Assessment:
Civilian casualty statements
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After a review of available information it was assessed that no Coalition strikes were conducted in the geographical area that correspond to the report of civilian casualties.
Original strike reports
For July 5th-6th: “Near Raqqah, 21 strikes engaged 15 ISIS tactical units and destroyed 13 fighting positons, two vehicles, two heavy machine guns, a front-end loader, a UAV site and a sniper position.”
It additionally reported that “On July 5, near Raqqah, Syria, five strikes engaged four ISIS tactical units and destroyed six fighting positions, a sniper position, and a heavy machine gun,”
And also that “On July 5, near Raqqah, Syria, two strikes engaged two ISIS tactical units; destroyed a fighting position, a front-end loader, and an UAS launch site; and suppressed 17 fighting positions and a sniper team.”
‘Wednesday 5 July – Typhoons hit seven Daesh strongpoints in Mosul, Tornados eliminated a sniper team in Raqqa…Typhoons continued to support the Iraqi troops in west Mosul on Wednesday 5 July. Exceptionally careful coordination was needed given the very short distances between the Iraqi forces and the Daesh positions, but the two Typhoons were able to destroy seven strongpoints, including two with medium machine-guns, each struck by a Paveway IV. Tornados kept watch over the latest SDF advances in Raqqa, and used a Paveway IV to deal with a sniper team.’
In the past week, June 29th – July 4th, France reports 4 airstrikes in Mosul and 4 in Raqqa, all in support of the troops on the ground.
Point de situation des opérations ARMÉE FRANÇAISE – OPÉRATIONS MILITAIRES·WEDNESDAY, 5 JULY 2017 OPÉRATION CHAMMAL SITUATION En Syrie, A Raqqah, les combats pour le contrôle de la ville se poursuivent. Daech concentre sa défense sur les zones les plus urbanisées selon une stratégie qui a déjà été observée à Mossoul : piégeage, tunnels, fortifications sont en place et rendent la progression des Forces Démocratiques Syriennes difficile et dangereuse. Les FDS progressent néanmoins de l’Est vers l’Ouest de la ville, profitant de brèches dans le mur d’enceinte pour entrer dans la Médina. Elles poursuivent également leur manœuvre d’encerclement au Sud de la ville pour réduire les soutiens de Daech, notamment en provenance du Sud-Ouest. Les Forces pro-régime sont à une vingtaine de km au Sud de Tabqa. En Irak, A Mossoul, Daech perd du terrain chaque jour dans la Médina et s’acharne à défendre le dernier kilomètre carré encore tenu. Sa liberté de circulation dans la région environnante est également compromise. L’organisation terroriste essaie de se recentrer vers Tal Afar à l’Ouest, et Hawijah plus au sud de Mossoul, deux secteurs fortement défendus et encore sous son contrôle. Daech a néanmoins la capacité de réactiver des cellules dormantes qu’elle concentre au moment opportun contre les forces de sécurité. Ceci démontre que la prudence reste de mise quant à la reprise de Mossoul même si l’optimisme des forces locales domine. MOSSOUL Cette bataille s’inscrit bien dans une stratégie coordonnée entre la Coalition et le pays hôte. Cette stratégie comportait une première phase de préparation de la bataille afin d’accompagner la montée des forces de sécurité vers Mossoul et d’encercler la ville pour couper tout renfort ou soutien extérieurs au profit des terroristes retranchés. 300 frappes aériennes françaises ont accompagné pendant plusieurs mois cette première étape de préparation et de renseignement (Shapping). Dans la deuxième phase, avec l’engagement des canons CAESAR et du Groupe aéronaval, 300 autres frappes aériennes, auxquelles s’ajoutent près de 1200 missions d’artillerie, ont permis d’appuyer les forces de sécurité engagées pour la libération de la ville. Les 600 frappes aériennes délivrées dans la région représentent donc une partie conséquente de l’effort français réalisé depuis trois ans, lequel s’élève début juillet à plus de 1 300 frappes. Avant de débuter une éventuelle troisième phase pour Mossoul et ses habitants, de longues opérations de déminage et de sécurisation devront néanmoins être menées pour neutraliser les pièges dont Daech a saturé la ville et éliminer les cellules dormantes. ACTIVITÉS DE LA FORCE Cette semaine, les aéronefs ont réalisé 35 sorties aériennes dont 31 de reconnaissance armée et d’appui au sol (CAS), ainsi que 04 missions de recueil de renseignement. 04 frappes ont été réalisées à Mossoul et 04 autres à Raqqah, toutes en appui des troupes au sol. La Task Force (TF) Wagram a mené de son côté 14 missions de tir dont 13 de harcèlement et 01 d’éclairement. Le bilan global depuis le 19 septembre 2014 s’élève 1307 frappes, 2072 objectifs et 6754 sorties. OPÉRATIONNELS ENSEMBLE : LE SOUTIEN INTERARMÉES EN OPÉRATIONS Pour réussir ces opérations, il faut réaliser les « 12 travaux de la logistique » et être « opérationnels ensemble ». 1 200 militaires sont déployés dans le cadre de CHAMMAL sur cinq pays. 16% seulement de cet effectif contribue à soutenir le personnel comme les matériels dengagés. La logistique en opérations recouvre douze domaines spécialisés : 07 sont principalement dédiés au profit du personnel, 05 le sont au profit des matériels. Dans le domaine de l’acheminement, en trois ans, 24 000 passagers ont transité par voie aérienne vers le théâtre. 15 000 tonnes de matériels ont été projetées de France, la moitié par voie aérienne et l’autre par voie maritime, avec une recherche permanente d’équilibre entre la nécessaire réactivité et les coûts induits. Dans le domaine du soutien carburant, 12 000 pleins (avitaillement) ont été réalisés au sol, 14 000 en vol (ravitaillements) au profit de l’ensemble des aéronefs français engagés. Ces forces sont parfaitement interopérables grâce aux réseaux classifiés établis entre 700 ordinateurs reliés sur le théâtre et avec la métropole, par le biais de 50 stations satellitaires.’